Affaires De Laval - Si vous le permettez, j’aimerais faire un bref retour sur le déneigement de la dernière tempête de neige, survenue le 3 février dernier. Je persiste à croire et à marteler que le déneigement n’est pas seulement une question de mobilité mais, aussi une question, avant tout, de sécurité.
Pas plus tard que ce samedi, soit le 6 février, j’ai eu la chance d’assister à une scène au cours de laquelle un véhicule du service des incendies de Laval ne pouvant plus circuler (vidéo à l’appui) sur une rue où le déneigement n’avait pas encore été effectué. Cette rue enneigée est un exemple, parmi tant d’autres, que le déneigement à Laval connaît des sérieux ratés.
Imaginez un instant qu’un véhicule d’urgence (pompier, policier, ambulancier) répondant à un appel se trouve immobiliser, faute de pouvoir circuler librement sur une de nos rues. Quand on sait que chaque seconde compte, il est impensable, pour ne pas dire inconcevable, qu’un véhicule d’urgence ne puisse se rendre sur les lieux d’un accident ou d’un sinistre.
Que la priorité du déneigement doit suivre un protocole, je le comprends. Toutefois, ce qu’il faut tenir compte est que les lavallois et les lavalloises méritent mieux en termes de déneigement. Certes, nous n’habitons pas tous et toutes sur une des artères principales et plusieurs des habitations sont construites en retrait, afin d’assurer une certaine forme de quiétude et d’intimité. Mais, cela n’excuse nullement le fait que ces citoyens et citoyennes doivent attendre plus de 36 heures avant qu’une opération de déblaiement soit enclenchée.
Alors que bon nombre de quartiers de Laval sont de plus en plus densément peuplés et que les résidents et résidentes de ces quartiers utilisent leurs automobiles comme moyen de mobilité, LA logique voudrait que les méthodes de déneigement soient adaptées à cette réalité. Or, ce que nous sommes à mème de constater est le manque flagrant d’équipement roulant tels que, chenillette et pelle auto-niveleuse (grader).
Pourtant, la solution est fort simple. Pour ce faire, je suggère fortement que nos élus et élues municipaux adoptent une résolution qui permettrait d’augmenter les montants au budget attribué au déneigement. L’adoption d’une telle résolution permettrait : l’achat de nouveaux équipements, l’embauche de nouveaux sous-traitants, ainsi que l’augmentation des heures attribuées aux employés municipaux qui sont affectés aux opérations de déneigement.
Qui plus est, de telles mesures feraient en sorte que le nombre d’appels placés au service des travaux publics, ainsi qu’au centre des appels du 311 et auprès des élus et élues municipaux diminuerait considérablement. De plus, nos élus et élues n’auraient plus besoin de passer d’innombrables heures sur les réseaux sociaux en essayant de convaincre, tant bien que mal, que tout est sous contrôle et que tout se déroule rondement et ce, même si l’avalanche de plaintes et les nombreux vidéos qui circulent sur les médias sociaux prouvent le contraire.
Je ne cesserai jamais de le répéter :
˵Si nous voulons éviter de devoir gérer un problème, la solution est forte simple : ESSAYONS DE L’ANTICIPER. La base même de la protection civile, Prévention, Préparation, Intervention et ensuite Résilience˶.
Quant à nos élus et élues je vous demanderais d’écouter afin de pouvoir mieux comprendre. Inutile de répondre et/ou réagir sous le coup de l’émotion. Si vous croyez que la réplique immédiate est un signe de vivacité, détrompez-vous.
Pas plus tard que ce samedi, soit le 6 février, j’ai eu la chance d’assister à une scène au cours de laquelle un véhicule du service des incendies de Laval ne pouvant plus circuler (vidéo à l’appui) sur une rue où le déneigement n’avait pas encore été effectué. Cette rue enneigée est un exemple, parmi tant d’autres, que le déneigement à Laval connaît des sérieux ratés.
Imaginez un instant qu’un véhicule d’urgence (pompier, policier, ambulancier) répondant à un appel se trouve immobiliser, faute de pouvoir circuler librement sur une de nos rues. Quand on sait que chaque seconde compte, il est impensable, pour ne pas dire inconcevable, qu’un véhicule d’urgence ne puisse se rendre sur les lieux d’un accident ou d’un sinistre.
Que la priorité du déneigement doit suivre un protocole, je le comprends. Toutefois, ce qu’il faut tenir compte est que les lavallois et les lavalloises méritent mieux en termes de déneigement. Certes, nous n’habitons pas tous et toutes sur une des artères principales et plusieurs des habitations sont construites en retrait, afin d’assurer une certaine forme de quiétude et d’intimité. Mais, cela n’excuse nullement le fait que ces citoyens et citoyennes doivent attendre plus de 36 heures avant qu’une opération de déblaiement soit enclenchée.
Alors que bon nombre de quartiers de Laval sont de plus en plus densément peuplés et que les résidents et résidentes de ces quartiers utilisent leurs automobiles comme moyen de mobilité, LA logique voudrait que les méthodes de déneigement soient adaptées à cette réalité. Or, ce que nous sommes à mème de constater est le manque flagrant d’équipement roulant tels que, chenillette et pelle auto-niveleuse (grader).
Pourtant, la solution est fort simple. Pour ce faire, je suggère fortement que nos élus et élues municipaux adoptent une résolution qui permettrait d’augmenter les montants au budget attribué au déneigement. L’adoption d’une telle résolution permettrait : l’achat de nouveaux équipements, l’embauche de nouveaux sous-traitants, ainsi que l’augmentation des heures attribuées aux employés municipaux qui sont affectés aux opérations de déneigement.
Qui plus est, de telles mesures feraient en sorte que le nombre d’appels placés au service des travaux publics, ainsi qu’au centre des appels du 311 et auprès des élus et élues municipaux diminuerait considérablement. De plus, nos élus et élues n’auraient plus besoin de passer d’innombrables heures sur les réseaux sociaux en essayant de convaincre, tant bien que mal, que tout est sous contrôle et que tout se déroule rondement et ce, même si l’avalanche de plaintes et les nombreux vidéos qui circulent sur les médias sociaux prouvent le contraire.
Je ne cesserai jamais de le répéter :
˵Si nous voulons éviter de devoir gérer un problème, la solution est forte simple : ESSAYONS DE L’ANTICIPER. La base même de la protection civile, Prévention, Préparation, Intervention et ensuite Résilience˶.
Quant à nos élus et élues je vous demanderais d’écouter afin de pouvoir mieux comprendre. Inutile de répondre et/ou réagir sous le coup de l’émotion. Si vous croyez que la réplique immédiate est un signe de vivacité, détrompez-vous.
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Affaires De Laval - If you will allow me, I would like to give a quick look back at the snow clearing of the last snowstorm, which occurred on February 3rd. I still believe and insist that snow removal is not only a question of mobility but, above all, a question of safety.
No later than this Saturday, February 6, I had the chance to attend a scene during which a vehicle from the Laval fire department could no longer circulate (video in support) on a street where snow removal had not yet been carried out. This snowy street is one example, among many others, that snow removal in Laval has had serious failures.
Imagine for a moment that an emergency vehicle (firemen, policemen or paramedics) responding to a call is immobilized because it cannot move freely on one of our streets. When we know that every second counts, it is unthinkable, not to say inconceivable, that an emergency vehicle cannot reach the scene of an accident or disaster.
That the priority of snow removal must follow a protocol, I understand that. However, let's keep in mind that Laval residents deserve better in terms of snow removal.
I am fully aware that, not all of us live on one of the main streets, and many of the homes are built in quieter neighborhoods, to ensure a certain form of peace and privacy. But this does not excuse the fact that these citizens have to wait more than 36 hours before a clearing operation is initiated.
While many neighborhoods in Laval are more and more densely populated and the residents of these neighborhoods use their cars as a means of mobility, logic would command that snow removal methods to be adapted to this reality. However, what we are able to observe is the glaring lack of rolling equipment such as, tractors and graders.
However, the solution is very simple. To do this, I strongly suggest that our elected officials adopt a resolution that would increase the amounts in the budget allocated to snow removal. The adoption of such a resolution would allow: the purchase of new equipment, the hiring of new subcontractors, as well as an increase in the hours allocated to municipal workers who are assigned to snow removal operations.
What is more, such measures would ensure that the number of calls placed to the public works department, as well as to the 311 call center and to elected municipal officials would decrease considerably. In addition, our elected officials would no longer need to spend countless hours on social networks trying to convince, as best they could, that everything is under control and that everything is going smoothly and this, even if the avalanche of complaints and the many videos circulating on social media prove the contrary.
I will never stop repeating it:
“If we want to avoid having to deal with a problem, the solution is very simple: LET'S TRY TO PREVENT IT. The very basis of civil protection, Prevention, Preparation, Intervention and then Resilience˶.
As for our elected officials, I would ask you to listen to the citizens of Laval, in order to better understand. No need to respond and / or react emotionally. If you believe the immediate response is a sign of liveliness, think again.
No later than this Saturday, February 6, I had the chance to attend a scene during which a vehicle from the Laval fire department could no longer circulate (video in support) on a street where snow removal had not yet been carried out. This snowy street is one example, among many others, that snow removal in Laval has had serious failures.
Imagine for a moment that an emergency vehicle (firemen, policemen or paramedics) responding to a call is immobilized because it cannot move freely on one of our streets. When we know that every second counts, it is unthinkable, not to say inconceivable, that an emergency vehicle cannot reach the scene of an accident or disaster.
That the priority of snow removal must follow a protocol, I understand that. However, let's keep in mind that Laval residents deserve better in terms of snow removal.
I am fully aware that, not all of us live on one of the main streets, and many of the homes are built in quieter neighborhoods, to ensure a certain form of peace and privacy. But this does not excuse the fact that these citizens have to wait more than 36 hours before a clearing operation is initiated.
While many neighborhoods in Laval are more and more densely populated and the residents of these neighborhoods use their cars as a means of mobility, logic would command that snow removal methods to be adapted to this reality. However, what we are able to observe is the glaring lack of rolling equipment such as, tractors and graders.
However, the solution is very simple. To do this, I strongly suggest that our elected officials adopt a resolution that would increase the amounts in the budget allocated to snow removal. The adoption of such a resolution would allow: the purchase of new equipment, the hiring of new subcontractors, as well as an increase in the hours allocated to municipal workers who are assigned to snow removal operations.
What is more, such measures would ensure that the number of calls placed to the public works department, as well as to the 311 call center and to elected municipal officials would decrease considerably. In addition, our elected officials would no longer need to spend countless hours on social networks trying to convince, as best they could, that everything is under control and that everything is going smoothly and this, even if the avalanche of complaints and the many videos circulating on social media prove the contrary.
I will never stop repeating it:
“If we want to avoid having to deal with a problem, the solution is very simple: LET'S TRY TO PREVENT IT. The very basis of civil protection, Prevention, Preparation, Intervention and then Resilience˶.
As for our elected officials, I would ask you to listen to the citizens of Laval, in order to better understand. No need to respond and / or react emotionally. If you believe the immediate response is a sign of liveliness, think again.
